Le tournoi des Cinq Couronnes

Journal de bord - 6 juillet 2015

Le groupe de mercenaires reprirent la route, sous les indications de Mordecai Anuminas, dans les profondeurs du Bois du Silence. La lumière ce fit de plus en plus rare, à l’exception des torches portés par les aventuriers.

C’est en s’aventurant davantage dans la forêt que des toiles d’araignées purent être aperçus sur les arbres; les bosquets. Bosquets énormes, soit-dit en passant. Comme si la forêt aurait agrandit, ou qu’il aurait rétrécit. Dans la noirceur, des cliquetis s’entendait dans toute les directions. Au loin, une doline, nid de nombreux œufs d’araignées géantes. Leurs mères les protègent, au péril de leur vie. Ce qu’elles ont faite…

Phelaia découvrit, sous l’une des œuf, une sortie de tunnel s’enfonçant dans les profondeurs de la terre. N’ayant nulle part d’autre où aller, le groupe prit cette direction.

Ce fut après plusieurs minutes de marche, plus un embranchement, que les mercenaires tombèrent sur le village de Internee Resell, paisible bourgade en bordure de la montagne. Le groupe décide de s’y reposer pour la nuit.

Le lendemain, Caus Lacan semble réaliser que quelque chose de louche plane sur le village de Internee Resell. À l’aide de ses pouvoirs divins, il tente de détecter la magie des environs. Malheur! Ces yeux brûlent de par l’excès de magie de la zone. Un hospitalier vient à leur rescousse, mais Grashnorr et Phelaia décide de prendre la route, laissant leurs amis avec ce parfait inconnu. C’est en sentant une supercherie que Caus interrogea l’hospitalier. Avant d’en avouer d’avantage, l’homme disparu, soulevant l’illusion du village de Internee Resell.

Le sympathique village laissa place à une atmosphère cauchemardesque: des maisons ravagées, des lambeaux humains couvraient les murs des maisons, des hommes et des femmes composèrent la face, et l’intérieur, des montagnes, et une rivière de sang chaud coulait à proximité du village. Était-ce encore une illusion? Était-ce cela, l’illusion?

Le groupe ce rapprocha de plus en plus de la lanterne. Au loin, ils pouvaient apercevoir sa lueur, chaleureuse et invitante. Sans perdre une seconde, le groupe se rua vers sa lumière, laissant au loin Grashnorr, de glace.

Plusieurs se bousculèrent pour atteindre la lanterne, mais Phelaia fut la plus rapide. Enragée, elle obligea ses “alliés” de reculer, ou les conséquences seraient désastreuse. Ainsi, elle dut avouer son pacte avec un certain Orcus, un démon extrêmement puissant. Mordecai, hors de lui, tira une flèche vers Phelaia, qui répliqua par l’un de sort, qui fit tombé l’elfe au sol.

Avec un allié en moins, Grashnorr s’approcha du groupe, essayant tant bien que mal de suspendre la discorde. À ce moment précis, un homme passa sa main derrière le Drakéide, qui tomba au sol, inerte. C’était l’hospitalier de Internee Resell, mieux connu sous le nom de La Bête. Elle proposa un marché à Phelaia et Caus: mettre l’âme de Grashnorr dans la lanterne, ou il sera sécurité tant et aussi longtemps que la lanterne restera allumé.

L’obsession de La Bête trahit ses intentions et ses motivations: Pourquoi voulait-elle à tous pris gardé la lanterne allumé, ce n’est pas comme si elle vivait à l’intérieur. Mais peut-être que..? Phelaia souffla sur la flamme de la lanterne, et plongea la forêt dans la…

Noirceur.

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Journal de bord - 28 août 2015

Le compagnie se réveilla en plein milieu du Bois du Silence. Enfin, le nom n’avait plus vraiment raison d’être: les chants des oiseaux, ainsi que le claquement des branches, avaient repris place dans la forêt. Nos héros, fatigués par leur bataille contre La Bête, reprenait peu à peu le poil de cette dernière. À l’exception de Grashnorr, qui était passé à un cheveux du sommeil éternelle…

Mordecai Anuminas prit connaissance des détails de l’affrontement aux autres membres du groupe. Pendant ce temps, Loki de la maison Rin’eni prit la peine de ramasser la rouge lanterne du monstre. Elle serait peut-être utile aux dans les temps à venir. Le groupe décida tous de même de reprendre la route. Ils étaient tous fatigué, le soleil ce couchait bientôt, et une bonne nuit de sommeil leur ferait le plus grand bien.

Le groupe se dirigea donc vers Flourisall, grande capitale de Féérune. Si on pouvait dormir comme un bourgeois, c’était bien ici. Après un accueil assez chaleureux et sans encombre, la compagnie en profita pour refaire le plein de provision et réparer leur équipement. Puis, ils prirent chambre dans une auberge, et se reposèrent pour la nuit.

Malheureusement, tout n’était pas aussi simple, et la guerre faisait toujours rage à Féerune. On pouvait y sentir jusqu’à la grande capitale. Une attaque nocturne prit place en plein milieu de la ville. Nos héros sortirent rapidement de leur chambre, à l’exception de Loki, qui profita du chaos pour refaire ses poches. Au milieu de la route principale ce tenait Korgak “Le Brise Crâne”, anciennement rencontré par le groupe lors de la bataille de Bartur. Évidemment, il est ici pour reprendre sa revanche, mais particulièrement sur Mordecai, pour réparer l’affront de son œil brisé.

Grashnorr, toujours prêt à en découdre, prendra la plupart de coups, avec Caus Lacan pour le maintenir en vie le plus possible. Malheureusement, le corps du Drakéide ne pouvant pas supporter toute ses blessures, s’affaire au seul. Heureusement, Phelaia réussi à tuer l’orque, et repoussé l’assaut. Grashnorr aura goûter à nouveau la mort de très peu. Le groupe pouvait enfin dormir en paix.

Ou ce qu’il croyait. Très tôt au dit matin, un groupe de garde entrèrent dans l’auberge pour y kidnapper Loki. Il semble qui ait travailler pour les Skaven durant l’attaque, et sera puni par une sentence de mort. Nos héros, voulant à tous prit sauver le compagnon, se dirige vers la place publique, en essayant d’éviter le massacre.

À la potence se situe déjà deux hommes-rats, ajouté à cela l’elfe noir. Le Roi de Féerune entre en scène, plaidant les accusations du pauvre Loki. Caus cherche à prouver son innocence, mais même si ses arguments sont très bon, le passé criminel de l’elfe s’écrit sur plusieurs pages. Mais le roi est compatissant: il offre le pardon à Loki si ce dernier, ainsi que ses amis, se débarrasse des envahisseurs Skaven à Valrouge et ses environs. Nos héros accepte, laissant ainsi à leur ami quelques jours de plus à vivre.

Décidément, tous va de mal en pire, mais les aventuriers ne sont pas à la fin de leur soucis…

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Journal de bord - 4 septembre 2015

La route vers Valrouge se fit sans encombre. Le groupe, quelques heures avant leur départ, profita de ce moment pour y acheter les provisions pour le voyage. Bien que le village ne soit qu’à quelques heures de marche, il fallait mieux se préparer d’avance.

Sur place, les aventuriers purent découvrir le saccage que les skaven avait causé sur leur passage: les bâtiments étaient dans un piteux état, et tous les citoyens semblait avoir fui ce lieu maudit… ou pire. L’équipe décida de se séparer en petit groupe, pour couvrir le terrain.

Zakhar trouva de l’équipement semblant appartenir aux hommes-rats. Les traces de sang, et les couleurs des uniformes ne correspondant pas à ceux de la garde mirent la puce à l’oreille de l’elfe.

De son côté, Loki profita du sérieux de la situation pour faire une blague à son équipe. Qui à dit qu’avoir la corde au cou par le roi de Féérune n’était pas une bonne raison pour faire des blagues, ruiner la mission et se retrouver 6 pieds sous terre? Personne, évidemment. L’elfe noir usa de sa magie d’illusion pour émettre un cri au-delà des champs de blé. L’équipe se regroupa, puis prirent la direction d’une vieille grange, au loin, vers la direction des cris.

Arrivé sur les lieux, tous était calme. Trop calme. Zakhar décida de passer par le toit, tandis que Grashnorr prit l’option la plus simple: celle vers la porte. Cette dernière éclata dans un fracas assourdissant, mais de l’autre côté, il n’y avait personne. Grashnorr prit l’initiative de foncer dans les tas de foin. Probablement que son esprit simplet pensa y trouver l’origine des cris.

Soudain, un groupe d’homme-rats sautèrent sur les aventuriers. Le combat fut difficile: l’ennemi avait l’avantage du poison. Le combat fut bref, et malheureusement, tous les rats purent s’enfuir hors de la grange, en direction de la foret. Le groupe prirent la course à leurs recherche, laissant Phelaia derrière, gravement blessé.

Cette dernière se déplaça péniblement vers le moulin, où elle put se reposer en toute “sécurité”, si on considère la venue d’un barbare demi-dragon avec du poil qui détruit tout, “sécuritaire”. Pendant ce temps, le reste du groupe poursuivirent encore l’ennemi, qui s’était caché dans un buisson. Une flèche lui parcourait le torse, probablement celle de Zakhar. Les héros profitèrent de l’incapacité du skavens pour l’interroger, mais le monstre avait la langue dans sa poche. Il garda son secret dans sa tombe.

De retour à Valrouge, le groupe refouillèrent de nouveau la cache des skavens, et purent y trouver une cassette dissimulé sous le plancher. Ils y trouvèrent quelques pièces et une note au nom de Goboch “Le destructeur”. Il semble que ce vieil orque soit encore à la recherche d’artefact pour sa collection, mais dans quel but? Il faudra en avertir le Roi de Féerune. L’avenir du royaume est peut-être en danger…

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Journal de bord - 18 septembre 2015

De retour à Flourisall, la compagnie fut introduite à un nouveau compagnon: un gnome des profondeurs du nom d’Aldibert de Beux. Envoyé par Le Roi de Féerune, ce gnome devait veiller sur la sécurité du petit groupe et s’assurer qui ne fasse aucune bêtise. En effet, une bande d’énergumène comme la leur devait être sous l’œil avisé du Roi, pour ainsi éviter toute catastrophe. Neutre à cette idée, le groupe accepta l’individus, sans rien lui demander de son passé ni de ses motivations.

De toute façon, depuis quand se sont-ils déjà intéressé à quelqu’un?

Zakhar prit de l’avance sur le groupe pour y détecter les dangers de la route, si danger ils devaient y avoir. Au milieu d’un boisé, Zakhar y aperçu un petit campement habité par 2 personnages. Croyant qu’il s’agissait d’un danger, l’elfe resta caché, laissant ses compagnons tomber eux-même dans un guet apen. Guet apent, où ils tombèrent nez à nez avec un groupe de bandits, ayant peut-être senti l’odeur d’un noble telle que Aldibert. Heureusement, grâce aux pouvoir offert par son maître-démon, Phelaia put effrayer le groupe d’agresseur, laissant ainsi à nos héros la chance de reprendre la route.

Après plusieurs heures de marche, le groupe se retrouva à l’orée du Bois du Silence. Prennant leur courage à deux mains, le groupe avança à l’intérieur de cette forêt cauchemardesque. Des visions de leur combat contre La Bête revinrent les hanter. Ils avaient presque perdu Grashnorr dans cette affrontement. Là encore, chacun d’entre eux ne put empêché de se rappeler de la Lanterne et de ses pouvoirs. Leur amis étaient-ils vraiment en danger? La bête souhaitait-ils leur faire peur, ou leur donner un avertissement..?

Arrivé à proximité d’ Internee Resell, les aventuriers retombèrent sur le village maudit. L’odeur de chair en décomposition monta aux nez de certains, les rendant malade. D’autres étaient trop mystérieux pour laisser le dégoût s’afficher sur leur visage.

Être en plein milieu d’un village dont les murs sont composé de chair humaines n’était pas une bonne raison pour perdre son attitude de gros dur.

Le groupe fuya rapidement ce lieu maudit, puis sorti du Bois du Silence. Le soleil était très près des vallées, à l’horizon. Se reposer à Emura semblait être une bonne idée.

Arrivé au petit village, le groupe fut averti par la garde que quelqu’un voulait leur parler, à la chapelle. À l’intérieur se trouva Mortimer, l’assistance d’Espoir, la prêtresse et maire du village. Mortimer offra la chambre aux aventuriers, qui acceptèrent avec plaisir l’invitation.

Le lendemain matin, alors qu’ils s’apprêtaient à partir, Phelaia décida d’aller parler à Espoir, simplement pour prendre de ses nouvelles. Étrangement, Mortimer semblait éviter le sujet, ce qui éveilla les soupçon du groupe. Ne pouvant plus tenir le morceau, Mortimer les amena vers le cimetière, où ils purent trouver… La tombe d’Espoir.

Effectivement, Espoir était décédé, mais étrangement, en 1343, soit 6 ans après que le groupe ait rencontrer la femme. Ce qui ne faisait aucun sens, puis qu’il avait rencontrer la tieflinne l’année même!

Mais que c’était-il donc passé..?

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Journal de bord - 2 Octobre 2015

Après avoir quitté Emura, le groupe se dirigèrent donc à présent vers Bartur, dans l’espoir de trouver la paix… par l’épée.

Après quelques heures de marche, les aventuriers se retrouvèrent devant un paysage désertique. Les orcs avaient rasé une bonne partie de la forêt autour de leur nouveau bastion. Au loin, il était possible de distinguer Bartur qui avait été “rénovée” par les nouveaux locataires. Les tours en bois entourèrent à présent la ville, et des rondes de goblins et d’orcs pourchassent tous les intrus qui s’approche trop près de leur antre. Le groupe suivirent Loki, qui les guidèrent jusqu’à l’entré du passage secret.

Après avoir soulevé la roche pour dévoilé le passage, Grashnorr prêta la corde qu’il avait judicieusement acheté pour une occasion similaire. Rendu en bas, le groupe se retrouva à l’intérieur de la mine qu’il s’avait aperçu il y a plusieurs années, de leur première visite dans les souterrains de Bartur. Décidément, le travail semble avoir bien avancé. À leur pieds, une douzaine “d’esclaves” n’avait pas eu la chance des autres. Ils étaient mort à l’entrée des souterrains…

Le groupe reprirent la route, et tombèrent nez à nez avec des ogres. Le combat fut ardu, mais la victoire fut remporté!

Nos héros continuèrent jusqu’à une intersection, où trois chemin s’ouvrèrent à eux. Celui devant-eux, une porte en métal, était verrouillé. Après plusieurs tentatives de crochetage, le groupe décida de se diriger vers la prison, peut-être trouveraient-ils la clé? Arrivé à aux cellules, ils virent plusieurs personnages coincé à l’intérieur, probablement morts, mais ce qui attira le plus l’attention du groupe était une silhouette familière… Zuko!?

Le groupe se dépêcha à le libérer l’homme et à le questionner sur ses motifs. Il raconta qu’il était, encore, venu voir un vieil ami. Le groupe le nourri, Mordecai lui passa une arme, et sans la clé, ils se redirigèrent vers les casernes.

Arrivé à la porte, il entendèrent des voix de l’autre côté…

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Journal de bord - 30 Octobre 2015

Les sons de l’autre côté de la porte furent ceux d’un groupe d’orques. Sans aucune difficulté, le groupe d’aventuriers purent s’en occuper sans trop de dégâts. Après avoir fouillé la pièce au peigne fin, le groupe décida de continuer vers une autre porte, depuis la pièce, au lieu de rebrousser chemin.

Ce ne fut après qu’un dizaine de minute que le groupe tomba nez à nez sur une petite figure tamisé dans l’ombre. Elle portait un bâton dans sa main gauche, dégageant un étrange brouillard dans la totalité du couloir. Lorsque les aventuriers cherchèrent à connaitre l’identité du personnage, elle ne fit que rire d’un air dément, tandis que les héros tombèrent l’un après les autre comme des mouches. Le gaz fit sombrer le groupe dans un univers étrange.

Le groupe se retrouva donc au centre d’un salle circulaire entouré par un énorme puits de lave. Certains d’entre eux reçurent une vision de eux-même, leur donnant à chacun des directives pour comment revenir vers leur monde. Seul bémol: il ne devait en aucun cas révéler cette nouvelle information.

Aldibert de Beux était aux courant que ce lieu était une illusion, et que mourir était le moyen de fuir cette endroit. Caus Lacan, lui, savait qu’il y avait un traître dans son groupe, qui cherchait à tuer les membre de son équipe. Loki Rin’eni devait libérer un ange, se trouvant à plusieurs mètre au nord, mais Grashnorr savait qu’il s’agissait en réalité d’un démon qui, si libérer, allait détruire le monde. Pendant ce temps, Zakhar Anuminas cherchait tant bien que mal de comprendre ce qui se passait.

Après ce qui semblait être plusieurs heures, le groupe se réveilla enfin de ce cauchemar, et purent continuer dans les profondeurs du couloir devant eux.

Mais la peur qui avait envahit leur esprit vivaient encore en eux, cacher dans les profondeur de leur subconscient…

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